Un petit topic pour vous faire découvrir pourquoi les JdR suivants sont chacun d'entre eux les meilleurs. Sisi, c'est officiellement mesuré sur l'Echelle de la mauvaise foi d'Hagen-Gygax, un test infaillible.
Allez-y, n'hésitez pas à venir ici défendre votre chapelle, montez à la tribune précher et démontrer que la vérité existe en toute objectivité bien sûr . J'attaque avec ma tête de turc...oups, mon éditeur préféré, le Loup Blanc .

Vampire

Vampire est un jeu sombre, pardon, dark, de gothik-punk, comme on dit. Tout de suite ça pose l’ambiance de décadence et d’un monde urbanisé, glauque s’enfonçant dans sa propre folie auto-destrucrtice. Le sort des PJ n’est pas plus enviable, car ils incarnent un des rejetons de Caïn, qui tuant son frère Abel, fut maudit et tous ceux de sa descendance avec lui, à être un vampire, et devoir s’abreuver du sang des mortels, vivre loin du regard brûlant du soleil, et du monde du dessus. Les pauvres humains, ils ne savent pas.

Vampire, est le jeu qui a inventé l’art du conteur (le storytelling) par réaction à ces joueurs décérébrés et prétendument rolistes qui cassent du monstre dans des donjons en croyant se livrer à une activité spirituelle…mais si vous savez bien là, le jeu de ces « choses » qui crient frénétiquement…([i]bruit de déglutition) Gygax ! Gygax ! mon trésor !
Enfin, bref, le jeu de rôle est vraiment né avec Vampire et leurs auteurs en sont fiers, même qu’ils le rappellent finement toutes les 3 pages de leurs livres, que eux c’est une autre façon de jouer, plus intelligente, plus subtile et surtout plus élégante, sans dénigrer parce qu’ils sont au-dessus et qu’ils n’ont pas besoin de ça. Et que les autres ne sont pas des abrutis, car il leur reste la possibilité de recevoir l’absolution du messie, Mark Rein*Hagen, notre sauveur.

A Vampire, il faut impérativement être dans l’ambiance : avoir des frusques noires floquées d’un groupe de métal ou gothique (Cradle of Filth ou du Marylin Manson), pas lavé, barbu aux cheveux longs, les pins de clans ou d'autres gadgets vampires, pas lavé, avec des répliques savamment appris dans les chansons hurlées des icônes du genre, en anglais bien écorché, toujours placés à contre-temps, mais tu peux pas comprendre, c’est normal, t’es pas un gothique pauvre mortel…ah, et pas lavé aussi : la qualité se mesure au nombre de bains qu’on a loupé, car en fait, les Vampires n’aiment que le sang, l’eau ils en ont peur, on sait jamais des fois qu’elle soit bénite…

A Vampire, les joueurs sont plus roleplay que les autres. Un extrait : "Ouaaaaais, t'vois, Vampire, c'est un jeu d'ambiance, tu vois, nous on fait que du bon roleplay, tu vois, pas de jets de dés, t'vois...l'autre jour, notre MJ vénéré, il nous a mis un 2è génération Tzimisce, en face...avec Domination à 15, tu vois... Ben mon toréador désespéré, il lui a suffit d'utiliser son 17è niveau de Présence pour le calmer avant que le Brujah 3è génération du groupe lui mette son lance roquette nucléaire dans la gueule et tire, tu vois...Parce que mon Toréador, il est trop fort, t'vois... Il a toutes les filles qu'il veut, t'vois...Et de toutes façons, Caïn c'est son pote, alors il peut rien lui arriver..."

Ca joue finement, à Vampire, si on achète des suppléments qui sortent à la chaîne, c’est uniquement pour développer notre psychologie et pas pour la longue liste de feats…heu, de pouvoirs. « Bon si un peu en fait, mais ça sculpte méchamment mon perso d’un point de vue de son histoire, tu vois, torturée car il souffre malgré sa maîtrise de niveau 5 de l’Auspex, c’est normal pour un 13eme génération de se projeter dans l’astral, tu vois…nan, tu vois pas, mais c’est normal. »

A Vampire, c’est pas comme dans les autres jeux, où tu joues des niveaux et des classes, et qui te limitent vachement dans ton expression en jeu. Non, tu joues des clans et les niveaux ne sont que sur les disciplines, alors ça change tout, le jeu est intelligent, hein. Pas comme dans Donjon. Je ne dénigre pas, je remarque, c’est tout.

Vampire, c’est un jeu romantique, torturé, où les héros…pardon, les victimes malgré elles que sont les vampires, ont des états d’âmes quand elles sucent le sang de leur 10eme victime humaine de la journée, et qui regrettent sincèrement de planifier la purification du Sabbat de façon inquisitrice, car sinon, ce sont eux qui nous équarrissent, on est maudits, on a pas le choix, il faut assumer sa destinée balisée de sang…

A Vampire le conteur est vachement cool, super beau, gothique (j’en ai déjà parlé ?) et déguisé…pardon, habillé comme Alice Cooper, qui vous raconte avec des manières, des regards en coin et des attitudes hyper typées les déboires de vos démons intérieurs rongés par la quête du grosbil euh de la maîtrise intérieure et du désir de massacrer ceux qui vous ont causés ça en devenant plus ancien parce que vous vous saurez gérer cette bête et ses pouvoirs. Surtout ses pouvoirs en fait.

Vampire, c’est un jeu où il y a des secrets subtils et des choses cachées, tellement mystérieuses que même le MJ a du mal à suivre, s’il n’achète pas tous les suppléments. C’est pour l’aider dans son storytelling. Tout le monde manipule tout le monde et à la fin, on ne sait toujours pas qui est à la fin de la chaîne (le Sabbat, contrôlé par la Main Noire, elle même contrôlée par la VRAIE main noire, elle même contrôlée par...merde, il manque un supplément !). Même le MJ est manipulé, mais ne lui dites-pas, il arrêterait d’acheter des suppléments, et on ne pourrait plus faire évoluer nos personnages.

Vampire est un jeu de rôle inspiré de la série télé Vampire avec Bela Lugosi. Pas Buffy, ni Angel, ça n’a rien à voir, car eux ce sont des bœufs qui abusent de leurs dons. Pas comme à Vampire, la Mascarade.
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V.H.

Et de deux :

L’Appel de Cthulhu

L’Appel de Cthulhu, c’est un jeu sombre, désespéré mais pas gothique. Si ça existe, même que ça se trouve dans des livres à la base. Cthulhu, c’est moins dur à jouer que la façon de l’écorcher (KEU-TOU-LOU). La preuve que c’est simple, c’est écrit dans le système de jeu : le BRPS, le Basic RolePlaying System, qui est tout simple à utiliser, avec un d100 par ce que c’est plus réaliste de faire 83% que 16.6 sur un d20. Ou alors 16 ou 17. La preuve c’est qu’on y arrive même pas d’ailleurs. En plus la vraie vie, elle s’étalonne sur 100 et pas sur 20. Enfin, bref, c’est mieux.

Cthulhu, c’est un jeu anti-grosbill, où les joueurs sont volontairement faibles. D’ailleurs c’est pour ça qu’ils répartissent la poignée de points qu’ils ont en Esquive (90%), Chercher objet caché (95%) en Fusil à pompe (95%) et en Esquive (95%). Bien sûr, ils deviennent intouchables et ils trouvent tout, mais c’est pour les besoins du jeu, ça n’est pas du minimaxage, c’est roleplay. D’ailleurs, il y a longtemps qu’ils ont arrêté de mettre des points dans Bibliothèque, ils foutent le feu directement aux ouvrages maintenant, pour rendre purs ces lectures impies. C’est roleplay.

L’Appel, c’est un grand jeu, un jeu fin où le but n’est pas de casser du monstre, mais d’être un investigateur à la recherche des mystères et des puissances maléfiques dissimulées dans ce monde, mais on le sait pas car sinon on ne chercherait même pas à savoir, vu les caractéristiques sur les fiches des monstres à la fin du livre. Du reste, on ne chercherait rien tout court, car le moindre bouquin vous enfonce un peu plus dans la folie et le désespoir, comme un contrepoids à l’époque à laquelle on joue, les années 20 ou les années folles, ou l’insouciance de pauvres mortels qui n’ont rien d’autres à faire que de se vautrer dans le loisir inconsciemment alors que se tapissent dans l’ombre des caves des puissances au nom imprononçables ?

Imprononçables ? Dans des caves ? Ben oui, on est un investigateur méthodique. On va dans le grenier, puis après on lit tous les bouquins de la bibliothèque de l’oncle bizzarement disparu, au premier étage, avant d’être attiré par d’étranges rumeurs provenant de la cave. Alors on prend son fusil à pompe (4D6 de dégâts, mais c’est roleplay) et on s’arme de ce qu’il reste de courage et de raison irraisonnable (souvenez-vous, sinon on irait pas) pour aller finir ce scénario et enfin finir à l’asile pour pouvoir aller se coucher. Alors, on descend fièrement dans les catacombes, parfois en forme de labyrinthes peuplés par des cris effroyables qui donnent la chair de poule pour l’ambiance, et on tire à vue avec le fusil à pompe sur tout ce qui bouge en bavant. Le club de golf, on le garde pour les goules, parce qu’elles sont plus lentes à se déplacer que les autres bestioles indicibles. Vous voyez bien que ça n’a rien à voir avec du donjon.

A Cthulhu, quand on accumule de l’expérience, on a pas une forteresse immense, avec un harem et des suivants qui font les quêtes à votre place : on finit à l’asile. C’est du roleplay, c’est psychologique.

L’Appel, c’est un jeu le maître déglutit tout le temps et parle une langue étrange qui fait penser à Gollum qui aurait une quinte de toux, pour faire peur aux jeunes joueurs. Il faut juste acheter un peu de sirop pour les parties qui se prolongent. Ou se faire des grogs au miel.

L’Appel, c’est un jeu basé sur les livres du Stephen King des années 20, qui s’appelle Lovecraft. Un génie névrosé et mal connu, qui écrivait aussi bien que King, c’est dire. Enfin, pas tout à fait mais presque. C’est important de savoir ce qu’il écrit, pour donner une idée de la façon dont on va mourir, dans d’atroces souffrances, mais c’est une forme de libération, car on pourrait finir fou et hanté par ces démons. Mais au moins on SAIT que cela existe.

Dernière chose, dans Cthulhu tout le monde a une cinquantaine d'oncle, de cousin, de tante ou de nièce, mais il ne faut pas trop s'y attacher parce qu'ils ont toujours des problèmes en début de partie. C’est normal, d’aider sa famille quand elle a des problèmes.
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V.H.

tu oublis de dire que Vampire, c'est surtout un jeu où l'on joue des super heros qui boivent du sang et sont soit des super gentils soit des super vilains. (la bete, la lutte interne et tout, aucun interet).

viva la you-you power force
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Les convictions sont des ennemis de la vérité plus dangereux que les mensonges

Gottorp a écrit :Ouais d'abord, Vampire c'est un jeu compatible avec le monde des ténèbres, une pentalogie où il y a en fait une dizaine de gammes. Vampire c'est un jeu où les Vampires qui sont des créatures surnaturelles et solitaires font alliance entre les clans parce que sinon on jouerait que en one-to-one, et qui se trahissent entre elles pour montrer quelle est la plus forte des créatures, mais c'est une malédiction en fait, c'est pas fait exprès.
En fait il n'y pas de super gentils et de super méchants, il n'y a que des super qui sont les méchants pour celui d'en face, mais pour se distinguer on se désigne comme gentil. Et l'autre en face en fait, il fait pareil. Tu comprends pas ? Ben en fait c'est normal, Vampire c'est métaphysique, ça pose des questions compliquées. Tellement qu'on peut pas toujours y répondre à 3H du mat'. Alors on boit du sang des mortels, on entre dans le Sabbat et on fait de la taxidermie avec les garous. Histoire de se donner le temps de réfléchir.
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V.H.

On passe à Mage, moins connu d'entre vous je présume (et pour cause), mais ici on entre dans la crème de la crème des jeux, réservée à l'élite rôlistique auto-proclamée. L'intelligensia qui du haut de sa vénérable expérience sait.

Mage, the Ascension

Mage est un jeu de rôle conceptuel, mettant en scène une quête mystique dans un monde en pleine déliquescence morbide.

Les joueurs, pionniers de cette lutte politiquo-spirituelle (au même titre que les rôlistes sont, je vous le rappelle, les avant-gardistes de la révolution culturelle mondiale en marche) sont dotés de capacités surnaturelles leur permettant de plier la Tellurie sous le joug de leur Volonté. Il est dit d'eux qu'ils sont des Eveillés, rares priviligiés dont l'Avatar est habilité à percevoir une Certaine Apparence du Réel, Au-Delà du Grand Voile.

Ceux qui participent à cette véritable Epiphanie linguistique et intellectuelle qu'est une partie de Mage, sont invités à choisir parmi plusieurs type de Magus. Ces distinctions arbitraires qui cloisonnent les personnages n'ont de toute façon que peut d'intêret, l'essentiel de la création du Personnage étant la répartition des points et l'apprentissage de la Science Etrange. Parce que, dans une partie de Mage, vous allez être contraint d'user pour survivre de nombreux et puissants bénéfices : boule de feu, boule de feu ou, parfois, boule de feu.

En cours de partie, des paramètres vitaux sont à prendre en compte, comme par exemple le degré d'Enteléchie (très judicieusement traduit du fameux mot anglais Arete) ou encore le danger imminent d'une crise d'Hubris. D'autres concepts fascinants sonr décrits dans les règles, comme la différence entre l'Umbra Profonde et l'Umbra Lointaine, la Tapisserie et la Tellurie, le Crocodile et l'Alligator.

Les ennemis abondent dans le Monde de Sombreté, cadre unique des cinq jeux de l'Albus Lupus. Les adversaires privilégiés de vos entités-joueuses se nomment technocrates et ressemblent à s'y méprendre aux corporatistes de Cyberpunk. Il faudra user de toutes vos ressources magiques et de toute votre puissance dialectique pour les empêcher de détruire à jamais votre enveloppe corporelle (boule de feu, boule de feu, boule de feu).

Un aspect particulièrement fascinant de la ludo-topologie magienne (si vous excusez cette petite préciosité langagière) est le goût patenté de ce jeu - mais est-ce encore un jeu ? - pour les choses de l'intellect. Manipulant concepts, prémisses et paradoxes, les joueurs-créateurs sont saisis dans un tourbillon d'idée digne d'une fin de soirée sur France Culture.

Avantages Très Indéniables :
- Mage est un jeu uniquement accessible aux QI de 130. Vous ne serez ainsi pas importunés à votre table par l'habituelle masse crypto-rampante des rôlistes décérébrés.
- A Mage, magie s'écrit magye. Les incultes se moqueront de vous : cela vous permettra aisément de trier le bon grain de l'ivraie.
- A Mage, le système de règle très fluide repose sur la Mauvaise Foi. Le Maître de Jeu, rarement enthousiasmé à l'idée de court-circuiter son scénar, ne pourra par résister à trois quart d'heure de rhétorique spécieuse et sera contraint de vous laisser faire ce que vous voulez.
- Mage se joue avec un doigt dans le cul. C'est très très amusant. Mais c’est moins classe et branché aussi.
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V.H.

alors donc faut melanger la gamme ?

Mage, l'ascenceur
Garou, plus bourrain que moi ? tumeurs !
Wraith ou comment refaire Poltergeist
Changling ou Toon le retour ...

(d'autant que les garous d'apres vampires sont des boeuf mais si tu melanges les feuilles de perso, c'est des fiottes).
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Gottorp a écrit :Et puis Hunter Le jugement au premier degré (un fusil à pompe, un Vampire, une cible), Mummy fait de la résistance, Wraith l'Oblivion heureux, oblivions caché (très monde des ténèbres) etc...
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de toute façon, mon true brujah (majavan) a true love avec un garou, son grad pere wraith est avec lui et il parle aux fees

note : majavan se lit "mage avant" et signifie que vous etiez mage avant d'etre vampire et que donc vous avez gardé vos connaissance et que thamaturgie est une discipline de clan (et comme cela, ça a plus de bouche). Toute ressemblance avec une personne ayant vraiment joué est totalement normale !
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Terminator n’a qu’a bien se tenir. Face à lui il n’a pas un T8560 aux derniers raffinements des effets spéciaux made in Hollywood, mais bien un des derniers remparts face à la corruption galopante de ce monde des ténèbres, un des derniers héros. J’ai nommé le Hunter. L’exterminateur. Et non, ce n’est pas un ange.

Hunter : The Reckonning /EXTERMINATEUR : LE JUGEMENT DERNIER

Exterminateur est le genre de jeu que l'on achète sur un coup de tête, après l'avoir feuilleté en boutique. Pourquoi, me demanderez vous ?
Tout d'abord, le nom : Exterminateur : le Jugement dernier !! Voilà qui promet de bonnes soirées bien saignantes garanties 0% prise de tête.
Puis, les illustrations. Au hasard, on a une femme enceinte explosant des zombies à coup de téléphone, un retraité tranchant le bras d'un loup-garou avec une cuillère en argent et un lycéenne blonde bien gaulée enfonçant un pieu dans le coeur d'un vampire ... Arrivé là, on a déjà un sourire jusqu'aux oreilles !! On est bon pour passer dans les talk show, on est bien une personne névrosée qui doit consulter d’urgence, en déconnexion avec la société et le monde réel, aux pulsions morbides.
Alors on achète et on lit.
Ah merde !! Exterminateur est un des jeu de la pentalogie du Comptable, pardon, du Conteur de White Wolf. Le sixième. Donc en fait, on y incarne des humains (oui, il en reste finalement quelques uns dans le Monde de la Noircitude) qui ont des pouvoirs. Donc, pas des humains en fait. Mais c'est pas grave, après tout, Jeanne d'Arc était-elle humaine ? Pourquoi je parle de Jeanne d'Arc ? Parce que nos Exterminateurs (j'aime ce mot) entendent justement des voix ! Des voix qui leur commandent d'aller buter ce brave M. Fernot, le voisin d'en face. Et là, patatra, l'Exterminateur se rend compte que M. Fernot est en fait un vampire mage-garou qui tient le quartier sous son immortelle coupe depuis des temps immémoriaux ! Il comprend alors pourquoi il n'a pas voté pour lui aux dernières élections municipales ... Problème : maintenant, la police est derrière le pauvre Exterminateur, qui comme un idiot n'a pas pensé à aller retirer son permis de chasse. Donc voilà, Exterminateur, c'est comme Cthulhu, sauf que c'est la prison et pas l'asile. Parue dans le World de l'Obscurité (et des sombres idées), les méchants (tout le monde sauf les Exterminateurs) dirigent le monde !! Il n'y a donc aucun espoir ...
Alors finalement, on se dit que tant qu'à mourir, autant en emporter un maximum avec si. Et donc, on fait comme à D&D : on bute du monstre pour gagner de l'XP ! Aaah, ce Gary Gygax, quel visionnaire !
Pourquoi jouer à Exterminateur ?
Ben tiens, pour pouvoir buter les persos vampires grosbills de ses petits camarades de jeu légalement (c’est roleplay) et pour gagner de l'XP. Et ainsi prouver que Gary Gygax est bien le prophète du Dixième Art.
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V.H.

Niko a écrit :Taratata! Il y a aussi des Bibliothèque (95%), Credit(95%) et se-planquer-pendant-les-phases-d'action (95%)
Tu vois que c'est RP
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Now that we've fattened the cow and set out to plow unknown enemies - "Wow!" Shouts the startled crowd "Oh no did you see what I did see?" - The ravaged cabbage drifts on dark red skies - And it looks so nice

Vainqueur BB1, BB3, BB5 et BB6

Saelis a écrit :Non tu n'as pas compris le roleplay à Cthulhu Saelis : les joueurs expérimentés savent qu'il n'y a rien à gagner de trouver et de lire des ouvrages qui les rendront fous à coup de baisses de SAN bien avant qu'ils ne progressesnt significativement en Cthulhu Mythos. Bilan : ils foutent le feu aux bibliothèques, c'est plus rapide, et on prolonge un peu sa survie .
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V.H.

Mouahaha...dsl...je sais que je suis nouvo,que je vais encore me faire frapper...que j'ai sacrifié un poulet géant alors le Cassin va me tomber dessus...bon,en ce moment,je suis un joueur dans une partie de Mage...étant lycéen,on passe toutes nos heures entre midi et 2 sur ça...je sais que je n'ai pas de grande xp sur les JDR car c'est mon premier...mais le maitre de jeu est vraiment merdique alors ça nous pourri le jeu...il arrive pas à se faire respecter(on arrête pas de deconner),il n'a même pas un scénario déjà écrit...il fait des trucs qui seraient impossibles aussi bien dans la réalité que dans le pire JDR(exemple:un clepto bouscule toute l'équipe et nous vole toutes nos armes,sans qu'on ne voit rien et les dites armes étaient des fusils de chasses,katanas,carabines...).

Donc je dis NON...NON,un jeu de rôle ne peut pas se juger au bouquin qui l'explique!Un jeu de rôle ne peut pas se juger sur les compétences possibles des joueurs,sur les jets de dés...un jeu de rôle se juge avant tout sur son maitre du jeu,qui peut rendre un super univers (genre les Royaumes Oubliés) tout pourri ou un truc gothique bien sanglant (ou on écoute du Cradle) fascinant.

Voila,c'était la connerie hebdomadaire de Baccata,votre bouffon officiel...si vous voulez me frappez,allez faire la file Merci!
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C'est en explorant les ténèbres que l'on découvre la lumière.