Eurogamer: Est-ce une suite du Neverwinter Night de Bioware ou est-ce quelque chose de différent ?

Jack Emmert: C'est totalement une suite de Neverwinter Nights 1 and 2. La grosse différence est le support : la quatrième édition AD&D et la quatrième édition des Royaumes Oubliés. Dans la version « sur table » du jeu, l'horloge a été avancée de plus d'un siècle et de nombreux personnages des précédentes éditions ont disparu ou ont changé.

Il est évident qu'il y a énormément de références à aux jeux précédents. Neverwinter est un endroit totalement différent de ce qu'il était : il a été totalement détruit. Certains essaient de le reconstruire. Le joueur découvrira comment Neverwinter a pu en arriver là et qui est tapi dans les ruines, attendant de tirer parti de sa chute.

Eurogamer: Quand j'en aurai marre de jouer à Neverwinter tout seul, comment pourrai-je me regrouper avec d'autres joueurs ?

Jack Emmert: A la base, Neverwinter est divisé en un certain nombre de zones. Il y a d'autres joueurs dans ces zones, des hubs sociaux, où nous envisageons de faire interagir les gens. Il y aura aussi divers mécanismes de recherche similaires à ceux de nos autres MMO pour vous permettre de trouver vos amis et voir qui fait quelles quêtes et autres choses encore.

Eurogamer: Mais vous ajouterez des classes après le lancement.

Jack Emmert: Nous le ferons, vous avez absolument raison, mais ce que je peux vous dire, c'est que nous nous employons à faire cinq classes de personnages vraiment superbes. Voilà comment je vois les choses : nous ajouterons des classes supplémentaires après coup, c'est vrai, mais je préfère avoir un jeu avec cinq classes de personnages absolument parfaites plutôt qu'un jeu avec 15 classes médiocres.

Nous créons un RPG comparable à Dragon Age ; une histoire avec un début, un milieu et une fin. Nous n'essayons pas de créer un MMO avec une fin de jeu. Ce n'est pas ce que nous faisons. Nous concentrons nos efforts sur la qualité, pas sur la quantité.