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Niko
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Posté le : 26/06/2008 14:12:07 Sujet du message : Super héros super récit : persos & commentaires

Voici le nouveau topic pour la saison de récit qui s'annonce.

Voici la composition des équipes :

Equipe 1 :

Woodblade
Macteyss
Mamantins

Equipe 2 :

Saelis
Lendraste
Quorthon

Vous pouvez postez ici vos personnages dès qu'ils sont fin prêt dans ce topic. Les règles sont les mêmes globablement que d'habitude quant au style et la longueur.
Mais en début d'aventure et de chaque tour une sorte de MJ (moi donc) donnera des éléments de trame pour faire avancer le récit en message privé à l'ensemble des membres d'une même équipe. Aux participants d'en faire ce qu'ils souhaitent.

Les récits commenceront début juillet, d'ici là tous les éléments vous seront communiqués. Il existe 2 topics qui donnent respectivement l'ensemble de la timeline et du contexte ainsi que les règles et les éléments de jeu.

Ce topic servira par la suite, à poster les commentaires sur ce qui se passe. Gentlemen, à vous !
Dernière édition par Niko le 02/07/2008 21:00:48; édité 1 fois
 
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lendraste
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Posté le : 27/06/2008 16:12:40 Sujet du message :

Quasimodo


Citation :
Souffrances... Râles d'agonie... Vent de panique... Résignation... Prières... Mes sens baignent dans cette ambiance. Combien de temps cela fait-il ? Des minutes ? Des heures ? Je l'ignore. L'asphyxie mettra bientôt fin à mon calvaire, tout comme à celui de ceux que je maintiens en vie. Ma volonté brûle, consume mon esprit focalisé sur une seule tâche. Je n'entends plus les encouragements. Y en a-t-il seulement eu un seul ? Atlas a-t-il déjà porté plus lourde charge ? Ce n'est pas tant la masse que je retiens qui est énorme. C'est sa fragilité. Je le sens. Elle s'effondre lentement sous son propre poids. Mes jambes tiendront, le plafond non. A quoi bon ? Ces huit personnes, entassées sous moi, accrochées à mes jambes comme si leur vie pouvait être sauvé par ce seul contact, se savent-elles condamnées ? Bon sang. Quand je suis entré dans ce putain de tunnel, j'étais comme eux. Quand ce bolide aérien en flamme est entré et s'est écrasé dans ce putain de tunnel, j'étais terrifié et je pensais ma dernière heure venue. Quand l'explosion a retenti, soufflant comme un fétu de paille ma voiture et celle des autres automobilistes, je fus comme eux, quelqu'un de chanceux ayant pu sortir relativement indemne et à temps de mon véhicule à moitié démoli. C'est lorsque les craquements et les tremblements menaçants ont commencé à se faire entendre que les choses ont changé. Le tunnel s'effondrait déjà quand je renonçai à tenter ma chance à piquer un cent mètre vers la sortie la plus proche entre les épaves torturées des voitures soufflées par l'explosion. Quelle idée ai-je eu de croire que je pouvais retenir la chute des tonnes de roches au dessus de moi, de retenir ce plafond situé à plus de deux mètres au dessus de moi ? Et pourtant je le fis. Et ceux qui se trouvaient proche de moi y virent sans doute leur salut. M'identifièrent-ils immédiatement comme l'un de ces Novas qui joue au super-héros à longueur de temps ? A la lueur des téléphones portables, dans ce nuage de poussière rocheuse asphyxiant, nous avons rapidement découvert notre condition, probablement transitoire et très temporaire, d'êtres enterrés vivants, le statut précédent de peu celui d'enterrés morts. Trois enfants sous le choc. Leur père était mort écrasé, là, en les poussant vers moi. Trois femmes. Une vieille dame qui a déjà perdu connaissance. Une mère de famille qui s'occupe des gosses. Ce ne sont pas les siens. Et une jeune rendue hystérique par la situation, mais désormais plus calme après que l'un des deux types présents, un jeune, l'aie giflé à maintes reprises. Et l'autre homme, un quadragénaire qui croit encore que la ligne professionnelle de son mobile haut de gamme va pouvoir le sortir d'ici, alors qu'aucun signal radio ne passe. Mourront-ils étouffés ou écrasés ? Ça ne dépend pas de moi. Mon dos et mes jambes arcboutées soutiennent ce qui reste de plafond et, au-dessus, des tonnes de roches coincées dans un équilibre précaire et désespérément friable. J'ai mal partout. Mon corps est en feu et ce feu consume ce qui me reste de lucidité. Jamais les secours n'arriveront à temps, s'ils arrivent. Sans que je le sache je possédais le don des Novas, celui d'accroître ma taille et ma force dans des proportions que je n'aurai jamais imaginé. Mais j'ai pris ces huit vies sous ma responsabilité et je ne peux les sauver. La cassure du bloc bétonné que je retiens s'agrandit. Je ne peux pas faillir. Je dois tout tenir... Tout. Mais tout s'effondre et les hurlements de douleur et de terreur se mêlent au fracas de la roche...

Encore ce cauchemar, me dis-je en me réveillant. Mon regard tombe sur une photo de Gary Germain et de sa femme, Esmeralda... Ce prénom résonne comme un signe du destin. Gary, ce jeune cadre commercial qui eut un grave accident dans un tunnel alpin et suite auquel sa femme le quitta. Comment peut-on vivre encore après cela ? Il survécut à l'écrasement, à l'asphyxie, à l'ensevelissement... Mais personne d'autre. C'était il y a 3 ans. Suis-je puni pour cet échec ? Les scientifiques appellent ça la souillure. J'ai abusé de ce don, modifiant inconsciemment mes capacités à l'extrême, pour tenter de sauver ces huit vies et j'en reste à jamais marqué, déformé, bourré de développements musculaires anormaux, géant et incapable de retrouver une taille ou une apparence normale... ni même des sensations normales. Tout ce qui m'entoure à été fait sur mesure, avec les matériaux les plus résistants, car tout ce qui m'entoure est constamment soumis à ma force hors de tout contrôle. A ma manière, je suis handicapé. Obligé d'engloutir par jour la pitance de 10 hommes pour survivre. Il paraît que je peux encore grandir si je le souhaite, ce qu'on me déconseille de crainte de ne pouvoir réduire à nouveau ma taille. Mais pourrai-je jamais retrouver une taille normale ? J'offre mes services en tant que Nova... Pour me racheter de cette faute que personne ne m'a imputé sauf moi-même. Mais je suis plus dangereux pour autrui que véritablement utile, aussi je quitte rarement ma maison sans une excellente raison. Et cette résidence que je dois à Projet Utopia a été surnommée Notre-Dame... Car on m'appelle Quasimodo.

Lorsque mon signal visiophone se fait entendre, mes lèvres désensibilisées formulent avec difficulté la commande vocale d'activation de la conférence audio.
- Ahllosh ?
- Quasi ? C'est Jerry.
La voix du secrétaire de la T2M-Europe provoque un certain émoi. Depuis 10 jours, j'attendais qu'il me rappelle. Evidemment, à 7h du matin, cela présage que les choses vont devoir bouger très vite.
- Shalhut. Ch'est-che chi t'amènesh ?
- C'est officiel mon grand. On a besoin de l'équipe Gamma. Faut que tu te pointes à Venises dare-dare.
Mon appartenance aux équipes de réserve de la T2M-Europe tient déjà du miracle. Mais Quasimodo est finalement très populaire. Quand, comme moi, on est l'être le plus immensément moche de cette planète, on ne passe pas inaperçu. Bien sûr, je trouve ce voyeurisme quelque peu malsain, mais au moins je me sens quand même un peu aimé. Enfin, je me leurre pas. Il y a parfois plus de pitié et de crainte dans leurs regards que de reconnaissance. Ma popularité n'a d'ailleurs duré qu'un temps. Les médias se lassent vite des informations vieillissantes, et dès lors que j'ai refusé d'accorder le droit d'utilisation de mon image pour différentes publicités, ils ont finalement décidé de me ficher la paix. Seul le procès encore en cours avec SuperCanal pour l'utilisation illicite de ma personne dans un dessin animé me lie encore à la gent médiatique, quoique la batterie d'avocat de Projet Utopia se charge de résoudre le problème à ma place, visiblement pour toucher des dommages et intérêts qui rembourseront en grande partie les frais que j'occasionne à la société. Pourquoi pas. J'en ai assez sur le dos sans compter sur ces requins de l'audiovisuel. Quant à la convocation de Jerry, je l'attendais avec impatience.
- J'arrivesh. Transhport habituelsh ?
- Ouais. Un avion cargo affrété à Orly-Hyperpôle, avec du transport de fret classique pour la team et ton coin à toi. Un camion aménagé passe te prendre dans 30 minutes. Ça ira ?
- Chénial. A toute à l'heuresh. Arrêt communichation !
L'audiophone est automatiquement coupé. Je suis heureux que l'on ait besoin de moi. Généralement, Projet Utopia mieux que quiconque, et particulièrement la T2M-Europe, savent comment employer mes dons. Mais mon cœur se remplit en même temps de cette appréhension, cette peur de détruire quelque chose, pire, de tuer quelqu'un par mégarde. Projet Utopia est sur la sellette depuis le début de l'année, à cause du meurtre de Slide et des accusations portées par les Déjantés. Un accident provoqué par l'un des membres honoraires des T2M serait assez mal vu.

Alors que je prépare mes affaires je lorgne une dernière fois sur les analyses réalisées par le pôle scientifique de Projet Utopia. Retrouver des sens normaux. Ça serait possible... Enfin. Je n'ai qu'à signer pour autoriser cette opération chirurgicale. Elle attendra. Rien qu'une petite mission pour la T2M et ma vie pourrait à nouveau changer... Si toutefois Esmeralda voulait bien venir revivre avec moi...

On sonne à la porte... C'est l'heure.

_________________
Lendraste de Loreval
Qui cherche la Vérité cherche celui qui la détient, car elle n'existe pas à l'état naturel.
La cité des mensonges - 1
 
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WoodBlade
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Posté le : 30/06/2008 20:37:28 Sujet du message :


TUNES a écrit :


Je m'appelle Arthur Antunes Coimbra, et hier soir j'ai fêté mes 30 ans. En enlevant les banderoles « Happy Birthday TUNES » que mes collègues ont accroché un peu partout, dans le loft que l'organisation me paie au-dessus de Central Park, je me mets à chantonner un vieil air de Bossa. Ils m'appellent Tunes parce que je chante tout le temps. Il parait que ça les agace, mais moi ça m'aide à me détendre ... et j'en ai besoin. Je chantonne et je me marre. Je me marre parce qu'ils ont essayé de me faire une surprise, mais pas facile de me surprendre ; je me marre parce que la légère migraine due à la gueule de bois est comme une caresse par rapport aux douleurs que je ressens parfois durant les flashs ... Je me marre et je mets un vieux vinyle de Carlos Jobim.

Je suis né en 1989 à Rio de Janeiro, fils métis d'Arthur Senior, chauffeur de taxi d'origine guarani et Carmela, caribéenne, secrétaire à l'hôpital Getulio Vargas. Avec mes quatre frères, on a grandi dans un petit trois-pièces de Gavea, le quartier middle-class, qui borde la grande favela de La Rocinha. Une enfance sans histoire, à jouer au foot pieds nus dans les arrière-cours, sous le regard de nos parents, fiers d'êtres sortis de la misère et d'avoir pu nous envoyer à l'école. A 20 ans, j'en suis sorti avec mon Titulo de Professor : retour à la favela, mais cette fois accompagné de l'aura de l'instituteur, où j'ai vite mis les gamins dans ma poche avec mes éclats de rire et mes épaules de déménageur.

Je crois bien que les premiers signes sont apparus un soir, pendant une partie de volley sur Copacabana. Quelque chose comme un pressentiment que l'attaque partirait sur sa gauche ou que le passeur ferait une courte. Des flashs bizarres, de drôles de sentiments qui devançaient de quelques dixièmes de seconde la réalité, avec laquelle ils se brouillaient parfois dans mon esprit embrumé, et que j'ai mis sur le compte du stress ou de la fatigue.
Pendant longtemps c'est resté comme ça, et je n'osais pas en parler. Parfois les pensées de quelqu'un semblaient raisonner dans ma tête, parfois je rattrapais une tasse juste avant qu'elle ne tombe. Le phénomène venait tout seul, incontrôlable. J'hésitais à consulter.

Un soir, après qu'on ait bu beaucoup trop de rhum, mon pote Zé a pris ses clés de moto et nous a souhaité bonne nuit. Le flash m'a fait exploser la tête : je l'ai vu perdre le contrôle de sa moto sur la voie rapide. Je me suis écroulé au sol avec cette vision de cauchemar en entendant les autres se marrer « Je crois qu'Arthur a son compte ! Ah, ah ah ! ... ». Je me suis réveillé frissonnant chez mon frère Joao. « Il parait que Zé est dans le coma... ».

Le déclic se produisit un jour de canicule de Mars 2011. Sortant de l'école, je passais à la banque quand quatre types cagoulés sont entré, flingue au poing et nous ont fait coucher parterre. Leur chef a pointé son flingue sur la tête d'un client pendant que les trois autres récupéraient le fric. Il a contacté les flics au bout de quelques minutes, tandis qu'on entendait les blindés se poster devant le bâtiment.
« Tirez-vous ou y aura du grabuge ». Et il tire dans la tête du gars. Tonnerre dans un silence de mort.
Il s'approche de moi, s'assieds sur mon dos et me mets le flingue sur la nuque. Il hurle.
« C'est pas assez clair ? »
J'entends les mouvements à l'extérieur, j'entends sa gâchette cliquer, je sens ma tête exploser et un voile rouge m'envahir. Sauf que ce n'est pas arrivé ... pas encore. Et j'entends ses pensées, et je connais sa vie, et je sens sa peur. Et je peux m'immiscer. Il a deux filles, il s'appelle Luis. Son cœur bât la chamade. Pour la première fois je contrôle le phénomène, ce n'est plus lui qui joue avec mon esprit.
« Abandonne tout Luis, tu vas y laisser ta peau ... Tu ne reverras plus Maria et Teresa ... Les flics sont partout sur le boulevard, mais il y a une sortie derrière... La ruelle donne sur l'entrée du parking souterrain ... Fonce maintenant ... Dans une minute on est tous morts »
La pression sur ma nuque diminue
« Trente secondes Luis ... tu as déjà rempli trois sacs ... t'as réussi, t'es un battant ... la ruelle est déserte »
« On s'arrache les gars, à fond putain, par derrière !»
Ils traversent en courant, haletant, explosent la porte de la sortie de secours. J'entends leurs pas, leurs cris, puis la fusillade explose. Ma tête me fait mal à mourir.

J'ai été contacté le lendemain matin, un peu avant sept heures. Il parait qu'il a sonné une vingtaine de fois à la porte avant que je vienne ouvrir. Je me rappelle que le bruit de la sonnette se mélangeait dans mon rêve avec la sirène prévenant d'une attaque aérienne.
J'ai titubé dans le brouillard jusqu'à la porte, heurtant plusieurs fois les meubles sur mon passage. J'ai regardé par le judas, et me suis concentré en essayant en vain de ressentir quelque chose. J'entrouvris la porte, et vit un grand type au sourire fatigué, qui me dit avec un accent de Sao Paulo :
« Bom dia, Senor Coimbra, je me nomme Manoel Francisco dos Santos, puis-je entrer ? »
Dos Santos avait la cinquantaine bien tassée, la peau burinée et grosse masse de cheveux bouclés, un peu longs pour son âge. Il avait l'air fatigué, à cause de ses rides, mais surtout de ses yeux rougis, qui surplombaient les valises les plus impressionnantes que j'ai pu voir. Il portait un costume italien impeccable et une chemise blanche. Pas de cravate.
« Vous pourriez faire deux cafés, Senor Coimbra ? »
« ... Mmmh ... mouais, et deux pour moi aussi »

La discussion avec Dos Santos a duré 5 heures. Il m'a dit qu'il était le Directeur de la Bossa (Brazilian Organization for Safety in South America), branche Sud Américaine de l'agence de renseignements HuNo qui travaillait avec les gouvernements, l'armée et la police pour lutter contre les narco trafiquants, les terroristes et les guérillas en tous genres. Il m'a expliqué comment les témoignages des otages leur avaient mis la puce à l'oreille, qu'une aura avait entouré mon corps, que le type sur mon dos était devenu blanc comme un linge à mon contact, que mes yeux étaient devenus deux phares rougeoyants, et que je m'étais évanoui en prononçant des paroles inintelligibles. Il m'a dit que j'étais probablement un Nova.
Ces types avaient étudié mon profil et semblaient tout savoir de moi. Ils avaient besoin de moi pour faire parler les suspects, pour mener des négociations, pour anticiper les réactions de l'ennemi sur le terrain. Ils me formeraient, m'apprendraient à maîtriser mes dons, à en limiter les effets secondaires. Ils me paieraient très cher. Je ferai partie des Elites.

J'ai hésité pendant trois mois. Je me suis renseigné, j'ai multiplié les contacts. Ces types étaient sérieux et pas trop impliqués dans des exactions douteuses. Ils comprenaient mes doutes, mais maintenaient le contact, me relançaient régulièrement. J'aimais ma vie simple, mais je n'avais pas de réelle attache.

J'ai emménagé à New York le 04 juillet 2011, et suis parti en formation dès le lendemain. Depuis 8 ans j'enchaîne les missions. Je suis probablement millionnaire en dollars, j'ai des migraines épouvantables, pas de petite amie fixe, et je n'ai pas vu ma famille depuis plus d'un an.
Je suis le rythme classique : trois mois en opération sur le terrain, puis un mois en institut de relaxation, histoire de remettre les neurones en place. Massages, musiques douces, médecine traditionnelle chinoise, yoga et tai chi font de leur mieux pour limiter les effets secondaires liés la sur-utilisation de nos capacités, et les torrents de charge émotionnelle déclenchés par certaines missions. J'en suis sorti hier matin.
Hier j'ai eu trente ans, ce matin je chantonne, et pour ce soir j'attends un coup de fil.


Nom d'origine : Arthur Antunes Coimbra
Nom de code : Tunes
Nationalité: Bresilien
Mega-caractéristique : Méga Perception
Capacités spéciales : Télépathie, Précognition, Manipulation
Aberrations (Niveau faible) : Migraines - Cauchemar - Insomnies - Bouffées Paranoïdes
Tenue : Pantalon noir - Baskets noires - Lunettes noires - Maillot de la Seleçao ... en Eufibre dûment brevetée
_________________
Que tous ceux qui croient en la télékynésie lèvent ma main
Dernière édition par WoodBlade le 04/07/2008 22:15:16; édité 1 fois
 
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mamantins
Le Dernier de la classe, sur les forums et comme en vrai ... et il n'a pas honte :o
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Localisation: Makinohara... mais en france.
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Posté le : 01/07/2008 09:18:36 Sujet du message :

Ray


Citation :
Merde! Merde! Merde! Merde!
Ca y est! J'en suis un! Un de ces dégénéré de Nova! Une aberration de la nature!
L'eau du lac me renvoi pourtant mon visage d'origine. Brun, la trentaine, les cheveux en bataille et un petit bouc dont je suis très fier. Pas de cornes ou de difformités. Rien de tout ça. Non, juste des montagnes autour de moi, un magnifique lac, des gens inconnus qui me regarde comme si j'étais nu.
Mais je suis nu!!
Les larmes me monte aux yeux.

Que c'est il passé? Je suis où là? Que m'arrive t'il!? Reprends toi Ray! Reprends toi!
Calme toi... Que faisais tu hier soir? La fête avec les collèges de bureau pour fêter la promotion de Mickeal. On est sorti boire un verre ensuite et je suis rentré ivre mort dans ma garçonnière de Manhattan après avoir pris un râteau de la petite secrétaire de l'administration.
Ce matin, je me suis levé très en retard, donc très pressé. Le retard, est la plus grande cause de mortalité chez les traders. J'ai foncé sous la douche, je me suis habillé en quatrième vitesse, bu un café serré et foncé en courant vers le métro pour évité d'avoir trop de retard. Le temps que je le réalise, la première bouche de métro était loin derrière moi puis la seconde puis la ville et le reste, le paysage disparaissait presque sous mes yeux. J'ai cru perdre pied par instant, m'évanouir. Quand j'ai réussi à reprendre le contrôle de mon corps j'étais là. Mais c'est où là.!?

Ramassant un lambeau de mes vêtements qui ont du être arraché à cause de la vitesse pour cacher mon intimité, je me dirige vers un groupe de pêcheur à quelques mètres de moi.

-Bonjour, où sommes nous?
La réponse me laisse perplexe. J'ai rien compris.. Bordel mais c'est où ici?

Après plusieurs minutes de discussion je devine finalement que je suis au lac Titikaka, nu, sans argent... bref dans une merde noire.
Je rentre comment maintenant... J'ai l'impression d'avoir parcouru 10000 km en quelques secondes Je devrais pouvoir le refaire. Enfin je crois...




Nom d'origine : Raymon Manhattan Jr
Nom de code : Ray
Nationalité: Américain
Mega-caractéristique : Méga Dextérité
Capacités spéciales : HyperDéplacement, Champs de force, Vol

_________________
naaaan!
je ne suis pas un animal!
Dernière édition par mamantins le 10/07/2008 07:41:34; édité 2 fois
 
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macteyss
Le Gritche
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Posté le : 02/07/2008 14:49:09 Sujet du message :

Tom


Citation :
Il y a des dates qui marquent à jamais l'inconscient collectif. On dit que tout américain vivant à cette époque se rappelle ce qu'il faisait le 22 novembre 1963 ou le 11 septembre 2001. Il en est de même pour la nuit du 20 juillet 2009 mais cette fois-ci, pour l'humanité entière. Officiellement, et pour l'Histoire, le premier Nova a été le pompier Randel Portman. Mais je me dis souvent que je le suis peut-être devenu avant lui.

Je me trouvais sur les pentes de la Grande Casse, en manœuvres avec la 1ère Compagnie de Combat du 13 Bataillon de Chasseur Alpin, jeune lieutenant à peine sorti de l'Ecole Militaire. En montagne, sous l'uniforme, moi, Thomas Morel, de la famille du légendaire Tom Morel, j'étais au paradis.
Quand le satellite Galatea a explosé et répandu ses entrailles, toute l'atmosphère terrestre a été contaminée. D'après les huiles qui ont examiné mon cas quelques temps plus tard, il semblerait qu'un morceau entier se soit écrasé sur la Grande Casse, déclenchant une avalanche qui emporta le campement où je me trouvais. A vrai dire, je ne me souviens pas de grand chose : un bruit énorme dans la nuit, puis le chaos.

Après un temps indéterminé, j'ai repris conscience. J'avais mal partout, j'étouffais. J'ai compris que j'étais enseveli sous une belle couche de neige. Plus tard, on a estimé qu'elle devait faire plus de six mètres. J'aurais dû y rester. Au lieu de cela, j'ai commencé à creuser et à remonter peu à peu. Bien sûr, ça m'a pris des heures, mais je ne ressentais aucune fatigue, ni le froid qui aurait dû me tuer peu à peu. Sur le coup, je n'ai pas du tout réalisé que j'étais en train d'accomplir quelque chose d'impossible. Je n'avais qu'une pensée en tête : sortir de là.
Quand je suis tombé sur des blocs de glace, j'ai cru que tous mes efforts allaient se révéler vains. Mais, presque naturellement, mes doigts se sont transformés en griffes qui ont creusé la glace comme si c'était du beurre.
J'ai émergé de ce qui aurait dû être ma tombe au moment où le soleil faisait son apparition sur les sommets. Mes mains ont retrouvé leur aspect normal. En état de choc (sur le plan psychologique, sur le plan physique, je me sentais en pleine forme), j'ai erré ça et là, tentant de retrouver mes camarades. Les secours sont arrivés des heures plus tard.

Pendant plusieurs mois, ma survie a été considérée comme un miracle. Il faut dire que je n'intéressais pas grand monde : l'heure était aux restrictions budgétaires dans l'armée. Des régiments étaient dissous et les hauts gradés cherchaient surtout à sauver leur poste. Et puis, il y avait cette histoire de novas qui occupait l'actualité.
Par contre, mon chef de corps, le colonel Glévarec, s'est vite douté de quelque chose. D'abord parce que j'ai récupéré presque instantanément du drame. Par la suite, mes performances physiques se sont mises à devenir totalement aberrantes. Durant les manœuvres, j'enchaînais les courses en montagne comme s'il s'agissait de promenades de santé. Je semblais insensible au froid (et, je l'ai découvert plus tard, à la chaleur). Emporté par l'euphorie, je prenais des risques insensés, ce qui m'a coûté plusieurs chutes dont je suis sorti inexplicablement indemne, ou presque. Petit à petit j'ai acquis une sorte d'instinct qui me faisait anticiper les dangers. Je me suis mis à “savoir” quand les événements allaient mal tourner.
Ce brave colonel a voulu jouer au plus malin en se servant de moi pour étaler les performances du 13ème BCA et le sauver de la dissolution. Cela a fonctionné un temps, jusqu'au jour où des types sont venus au Quartier du Roc Noir pour me rencontrer. Dès que le téléphone a sonné, une alarme a retenti dans ma tête. J'ai eu des flashes. Je me suis vu à poil dans une chambre stérile, en train d'être examiné sous toutes les coutures par des gars en blouses blanches. Je me suis vu dans diverses opérations militaires, utilisant mes capacités. Une de ces visions me hante toujours : j'enfonce mes griffes dans le ventre d'une fillette aux yeux d'un bleu incroyable.
J'ai pris peur et je me suis enfui. Sortir que Quartier n'a pas été difficile. Par contre, j'ai vite compris que j'allais devoir changer de vie. Ma famille, mes connaissances étaient sous surveillance. J'ai été déclaré déserteur et traqué mais grâce à mes capacités, et notamment mon “sixième sens” me prévenant du danger, j'ai échappé à tous les traquenards. J'ai quitté la France pour l'Amérique du sud.

J'ai tout d'abord vécu de petits boulots, mais, rapidement, ma formation militaire m'a rattrapée. J'avais fait un trait sur mon ancienne vie à cause de mon statut de nova... et c'est justement celui-ci qui allait guider ma nouvelle existence. J'ai intégré la nébuleuse des Élites, ces groupes de novas mercenaires.
J'ai participé à diverses opérations en Afrique. Je n'en suis pas revenu intact : mes cheveux et tous mes poils ont pris une teinte bleu cerise (Chez les chasseurs, le terme “rouge” est réservé à la couleur du Drapeau, à la Légion d'Honneur et aux lèvres de la femme aimée), ce qui me contraint à me raser entièrement pour me fondre dans la foule des standards. De plus, mon sang est désormais vert...
Je ne suis pas spécialement fier de quelques actions que j'ai dû accomplir là-bas et je ne dors pas bien toutes les nuits. Le plus inquiétant, c'est que la vision qui m'avait fait quitter mon pays – quand j'éventre une fillette aux yeux bleus – est revenue, comme si ma fuite n'avait servi à rien.
Nom d'origine : Thomas Morel
Nom de code : Tom
Nationalité: Française (en fuite, déclaré déserteur)
Mega-caractéristique : Méga Endurance
Capacités spéciales : Absorption, Griffes, Précognition (sens du danger)
Aberrations : pilosité rouge (Il se rase pour dissimuler ceci), sang vert.
_________________
Lever le coude est la meilleure façon de ne pas baisser les bras.
Le droit à la différence s'arrête quand ça commence à m'emmerder sérieusement.

Le Colonel
Dernière édition par macteyss le 02/07/2008 20:20:30; édité 3 fois
 
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Saelis
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Localisation: Lille
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Posté le : 02/07/2008 17:25:11 Sujet du message :

El Gato Negro


Citation :
Je suis mort une fois déjà. C'était il y a 5 ans. Le truc classique pour un flic bolivien: Peu de moyens, une taupe bossant pour le cartel, une descente qui tourne au carnage. Je me revois dans cette cabane sordide au milieu de la forêt, eux jouant avec moi, me torturant, pariant sur l'heure de ma mort, et ces injections... D'abord cette nausée, puis ma conscience qui se tait peu à peu, le vide.

Et puis quelque chose s'est passé en moi, cette sensation d'atteindre le coeur du monde, d'entendre le bruit de ses rouages profonds, ses battements de coeur. Ma conscience voyageait au milieu de la création et fusionnait avec elle. Puis petit à petit j'ai de nouveau senti la douleur physique de mes tortures, j'ai vu la lumière du jour, j'ai entendu les bruits de pas de mes gardiens à l'extérieur.

C'est là que j'ai pris conscience que quelque chose s'était passé en moi. J'étais éveillé mais ma conscience semblait toujours anormalement altérée. J'ai ressenti les pensées profondes des hommes qui me gardaient, le murmure du vent, le grouillement des insectes, la sève coulant dans les arbres, j'ai ressenti la peur, la haine, l'amour, la joie de tout ce qui m'entourait. J'étais en pleine confusion. Les images, les sons, les odeurs se sont superposés, j'étais à la fois seul dans cette pièce et entouré de ces hommes qui me torturaient à mort. Je me débattais entre ma conscience et celle de mon environnement, entre mon passé, mon présent et mon avenir. Et puis le trou noir.

Je ne sais pas combien de temps s'est écoulé ensuite ni ce qui s'est réellement passé mais je me suis réveillé dans la jungle quelques heures plus tard. Avec le recul je peux prétendre sans trop me tromper que j'ai réussi à échapper à la vigilance de mes gardiens en anticipant leurs mouvements, en lisant leurs pensées, et en profitant de la bienveillance de la nature. Ce sont devenus mes spécialités depuis. Car dès ce jour je n'étais plus tout à fait Esteban Fuentes, obscur flic de La Paz, mais ce qu'ils appellent un Nova.


Suite à cet incident j'ai disparu de la circulation, j'étais officiellement mort en service et quelque part ça m'arrangeait. Je suis parti pour l'Espagne, Barcelone, et ai tenté de commencer une nouvelle vie. Depuis mon divorce 2 ans plus tôt je n'avais plus d'attaches en Bolivie. J'ai fait le genre de petits boulots qu'on offre à un clandestin en me jouant assez facilement des services de l'immigration. Le plus dur était d'échapper à mes visions. J'étais une véritable éponge à cette époque. Je ne maîtrisait rien et je pouvais me réveiller n'importe où sans savoir si ce que je venais de voir s'était passé, faisait partie de mes rêves, de ceux d'un autre, de ses souvenirs, pourquoi pas de son avenir.

Je ne sais pas comment ils m'ont trouvé mais un jour la T2M m'a contacté. Ils m'ont proposé de bosser pour eux. En échange je rentrais dans la légalité et surtout ils m'apprenaient à maîtriser mes pouvoirs. Je n'ai pas hésité une seconde. Surtout je retrouvais mon job, sous une autre forme, et ma vieille lutte contre les trafficants. J'avais une affaire à régler avec eux.
J'ai obtenu d'être détaché auprès de leur division sud américaine de lutte contre le traffic de narcotiques. 1 an comme agent infiltré en Colombie. J'ai commencé simple et peu risqué, un simple homme de main, et je fournissais la date et le lieux de certaines livraisons. Puis j'ai fourni des noms. Puis des têtes sont tombées. Ma mission a été globalement un succès. Il était temps de rentrer. Depuis j'attend une nouvelle mission, car maintenant je peux passer à autre chose.

Je suis mort une première fois il y a 5 ans... et plein de fois depuis dans mes visions. Mais le chat a 9 vies dit-on, alors je suis un chat. Et puisque j'annonce souvent un malheur je me nomme le chat noir, El Gato Negro.
Nom d'origine : Esteban Fuentes
Nom de code : El gato negro
Nationalité: Bolivien
Mega-caractéristique : méga perception
Capacités spéciales : précognition, télépathie, maîtrise des plantes et des animaux
Aberrations :
- Hyper empathie: Les personnalités des personnes avec lesquelles il a interagi influent par moment sa propre personnalité.
- Mémoire altérée: Ne sait pas toujours si ses souvenirs sont réels et bien les siens. Amnésies.
_________________
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Quorthon
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Posté le : 03/07/2008 01:47:13 Sujet du message :

Virus


Citation :
Je ne sais pas où, quand, ni comment sont arrivés mes pouvoirs. Mais ils existent.
Au début, quand j'avais compris que je possédais de tels dons, je les refusais. Surtout par lâcheté à ne pas travailler la maitrise de mes émotions, car ils étaient en relation direct avec mes capacités exceptionnelles.

La découverte de mes pouvoirs remonta à un soir de novembre 2009. Alors que je rentrais chez moi, 3 voyous m'attaquèrent. Des camés qui étaient devenus fou de rage de ne pas avoir trouvé du fric sur moi.
Perdant les pédales, l'un deux donna un coup de couteau dans ma gorge. Mes 2 mains sur ma blessure, je titubais mais restais malgré tout debout...

Bordel ! Je vais crever ici comme un pauvre con !... Je me mettais à penser tout haut... Tout allait être fini ici, il fallait qu'il paye !
Pris à mon tour d'une folie furieuse, je frappa au visage le manieur de couteau.
Ceci fut si soudain que tout le monde reste planté sur place.

Quand celui que j'avais frappé se mit à tousser brusquement. Sa toux n'était pas normale, ses tremblements non plus d'ailleurs, ni ses grottes gouttes de sueur et ses boutons sur son visage.
L'un d'eux réagissa :
- Oh Marco ! Qu'est-ce t'as ?
Le Marco était plié en deux, à genoux. Il se mit à cracher du sang, toussa de plus en plus fort, au point de s'égosiller. Ses tremblements ressemblait à une véritable crise d'épilepsie.
Puis il s'écroula, et ne bougea plus.

Qu'est ce qui s'était passé ??

Les autres fuyèrent, pris de panique face à une chose surréaliste. Au bout d'un moment, je m'aperçu que je pouvais encore bouger mes bras, tourner la tête, marcher...
Mais comment était-ce possible avec une telle blessure ?... Je cherchais le moindre trou dans ma gorge, je n'en trouvais plus.

Moi, Karl Schreiber, j'étais un vrai miraculé.

Je passa une vraie nuit blanche pour essayer de comprendre comment ma blessure avait pu dispraitre ainsi.
Le lendemain, j'appris qu'on avait retrouvé le type mort d'une peste bubonique ; ça avait fait la une des magazines de santé.
Ce fut aussi une aubaine pour mon laboratoire de recherches pharmaceutiques dans lequel je travaillais, car il avait pu étudier un échantillon ADN souillé par cette maladie.

Mais malgré le fait que je voyais défiler des rapports et des noms scientifiques aussi barbares les uns que les autres, je me disais que je pouvais difficilement être atteint par une quelconque bactérie virulente. Je travaillais dans les services administratifs.

A la mi-décembre, j'en étais venu aux mains avec mon chef de service. 1 semaine plus tard, on lui avait diagnostiqué un cancer généralisé à un stade très avancé.
J'ai voulu en avoir le coeur net en réalisant une expérience aussi débile que révélatrice : la taillaide que j'avais faite à mon bras avec un couteau de cuisine ne me fit, d'une part, aucun mal, et, d'autre part, disparut elle aussi après avoir posé ma main.

Lorsque fut célébrée le 1er janvier 2010 la cérémonie des Nations Unies concernant la Team Tomorrow, j'avais compris qui j'étais ; et ils ne furent pas long à me trouver.

Ils m'aidèrent à maîtriser mes pouvoirs, mais c'était plus difficle que prévu ; car si la peur pouvait aider les autres à guérir, la colère était aussi capable de les contaminer.

En paralèlle, mon cas intéressait particulièrement Jennifer Landers qui découvra en moi une forme de mélange d'énergie primaire et quantique, mais fut bien incapable de découvrir quelle autre capacité je pouvais domestiquer. Jusqu'à son assassinat, je n'avais qu'un nom de code : champ de force...

L'enquête sur sa mort pourrait peut-être me donner cette réponse parmi toutes les autres qu'on attendait.



Nom d'origine : Karl Schreiber
Nom de code : Virus
Nationalité : Allemande
Age : 29 ans
Mega-caractéristique : Mega-Endurance
Capacités spéciales : Absorption (énergie cinétique) ; guérison ; champ de force (non maitrisé encore).
Aberration lourde : ne peut pas contrôler totalement ses pouvoirs car n'arrive pas toujours à maitriser ses émotions.

_________________
Alors qu'est-ce qu'on fait ? On continue dans la grâce ?

TSHAW.
 
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